LES MISES EN SCENE DES TERRORISTES

Publié le par C.C.E..E.E.


et sur la photo de Cana, le "mort qui en a marre de faire semblant d'être mort ..."

LES MISES EN SCENE DES TERRORISTES

 

Par Caroline Glick, rédactrice en chef du Jerusalem Post

Paru dans le Jerusalem Post du 28 août 2006,

Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com 

 

Que voit-on quand on regarde les nouvelles du Moyen Orient à la télévision? Sont-ce des nouvelles ou des mises en scène des terroristes?

Observons deux événements qui se sont produits le dimanche 27 août 2006 à Gaza. L'après-midi, deux journalistes de Fox News, otages des Palestiniens, Steven Centanni et Olaf Wilg ont été relâchés et ont parlé devant les caméras. Les faits et leurs déclarations ont été rapportés par plus de 1000 agences d'information à travers le monde!

Centanni et Wilg ont été obligés par leurs ravisseurs à se convertir à l'Islam, et, à la conférence de presse ils ont loué les Palestiniens. Centanni dit "J'espère juste que ceci n'effraiera pas un seul journaliste de venir à Gaza pour couvrir cette histoire, car les Palestiniens sont un peuple magnifique, cordial et attentionné que le monde doit connaître davantage" Wilg fit de même.

Alors que ces propos ont été largement diffusés, personne ne fit remarquer que c'était un discours préparé par l'Autorité Palestinienne pour la grande messe médiatique, à l'occasion de la libération des 2 journalistes. Personne n'attira l'attention sur le fait que les 2 hommes étaient flanqués par des "forces de sécurité" palestiniennes et à côté d'eux, trônait le chef terroriste du Hamas et 1er ministre de l'Autorité Palestinienne, Ismail Hanyeh.  Personne n'a précisé que ces 2 hommes avaient été kidnappés justement par "les forces de sécurité" de l'Autorité Palestinienne et que Ismail hanyeh est l'un des chefs d'une organisation terroriste la plus fanatique dans le jihad mondial, organisation que ce peuple " magnifique, cordial et attentionné" a amené au pouvoir en janvier dernier. Et puis personne n'a dit que ces deux hommes n'ont été libres qu'après avoir quitté Gaza. Personne n'a demandé si on leur a laissé le choix de faire ou de ne pas faire cette conférence. Maintenant qu'ils ont parlé, on peut parier que s'ils refont une autre conférence librement, sans qu'ils ne soient obligés de se convertir au judaïsme ou au bouddhisme, sans que personne ne les menace, il y aura peu de journalistes pour les écouter. Après Gaza, ces deux hommes sont maintenant de l'histoire ancienne.

 

Comme par hasard, le même jour où ces 2 journalistes ont été libérés par leurs ravisseurs palestiniens, Reuters a rapporté que Tsahal avait tiré un missile sur la voiture de presse et blessé deux photographes, l'un de l'agence Reuters, l'autre d'une télévision iranienne, alors qu'ils étaient en route pour couvrir un accrochage entre l'armée israélienne et des terroristes palestiniens. Demandant une enquête indépendante sur l'incident, Reuters décrit son photographe, Fadel Shana, comme un héros parti pour rapporter la vérité au monde. On peut se demander comment on peut croire Shana ou Reuters. Voilà comment Shana rapporte les faits: "Je conduisais en route vers la scène du combat, soudain je vis du feu et les portes de la jeep s'ouvrirent; j'ai été blessé par un éclat à la main et à la jambe". On peut remarquer déjà qu'il s'agit de blessures mineures pour quelqu'un atteint par un missile…Puis les photographies prises après cet incident ne montrent en aucune manière que le véhicule de Reuters ait été atteint par un missile. Il y a une entaille sur le toit et le capot est déformé. Rien de brûlé. Un véhicule atteint par un missile n'est pas simplement accidenté, il est pulvérisé! Or le pare-brise et les fenêtres sont intacts. Dans les photos prises de Shana lors de son transport à l'hôpital, Shana est sur une civière, les yeux fermés, le bras étendu à la manière d'une "pieta"; pas de saignement, des taches de sang sur sa chemise, mais pas sur son tricot, d'une grande blancheur.

Mais on ne voit pas ces images dans les médias qui ont rapporté ces événements. Vous les trouvez sur un blog de Powerline. Aucune question n'a été soulevée, par aucun média même israélien quant à la véracité des propos de Shana, qui équilibre, d'une certaine manière et au bon moment, la prise d'otages des journalistes de Fox.

 

Mais ceci n'est pas seulement l'apanage des Palestiniens. Vous le constatez également dans la guerre de l'information menée par le Hezbollah contre Israël où les agences d'information et les ONG internationales sont les agents actifs du Hezbollah. Comme les pays voyous qui les soutiennent, les groupes subversifs comme  le Hezbollah, le Fatah, le Hamas voient l'information comme un moyen privilégié d'annihilation dans la guerre menée contre Israël et l'Occident. Les méthodes de désinformation utilisées sont ultra perfectionnées. Comme cela se confirme de jour en jour, ils ont corrompu à la fois l'univers des médias et celui des ONG, supposés neutres dans les zones de guerre.

 

Ce n'est pas un hasard, si j'ai pu voir les photos du véhicule de Reuters sur Powerline et non pas dans la couverture médiatique internationale. Aussi bien les médias globaux que la communauté des ONG refusent de s'auto-vérifier. Comme les gouvernements des démocraties et leurs militaires se sont montrés incapables de résoudre ce problème de désinformation, il ne reste plus que l'univers des blogs qui sert aujourd'hui de garde-fou.

 

Dans la guerre d'aujourd'hui, seuls les bloggers sont devenus l'organe critique dans la défense du monde libre et de la vérité. Lors de la campagne contre le Hezbollah au Liban, les bloggers ont couvert avec minutie les événements, comme jamais auparavant.

Ils ont réussi à démasquer un côté sordide que les médias opérant au Moyen Orient ont caché pendant des années. En fait, au lieu d'être les observateurs neutres des faits, les médias mondiaux et les ONG ont collaboré avec les organisations terroristes.

La blogosphère, et en particulier Little Green Football, Zombietime, Michelle Malkin et EU referendum ont sans arrêt montré les falsifications systématiques des événements, le montage de fausses attaques contre les bénévoles, la fabrication d'images par le Hezbollah, aidés par les médias officiels et les ONG.

La Croix Rouge Internationale, organisme international protégé est particulièrement coupable. La blogosphère, notamment EU Referendum et Zombietime ont démontré que les employés de la Croix Rouge à Tyr et à Kana ont monté de toutes pièces une histoire à propos d'une attaque aérienne d'Israël contre des ambulances le 23 juillet à Kana. Dans un document exhaustif "comment les médias ont rendu légitime un faux anti-israélien qui a changé le cours de la guerre", Zombietime a montré les employés de la Croix Rouge en train de prendre une vieille ambulance rouillée et ont prétendu que Tsahal avait tiré un missile dessus qui a fait un trou sur le toit, juste au milieu de la croix! Ces allégations ont été rapportées comme véridiques par des médias "crédibles" tels que AP, Time magazine, BBC, ITV, NYTimes, The guardian, The Age, MSNBC, Los Angeles Time et le Boston Globe. Amnesty International et Human Rights Watch ont tous les deux publiés un compte rendu de l'attaque comme preuve des "crimes de guerre" d'Israël au Liban.

Par l'examen des photos prises de l'ambulance, ZombieTime a montré simplement que le trou au milieu de la croix était  le trou d'aération du véhicule, et que les marques sur le toit étaient bêtement celles de la rouille et de la vétusté. Pas de trace de feu dans l'ambulance. Il n'y avait ni attaque, ni missile, un montage complet, concocté par des employés de la Croix Rouge, qui jouissent d'un statut protégé, vu la neutralité de l'organisation.

 

Une semaine plus tard, EU Referendum rapportait des faits dans une enquête similaire sur ce qui s'était passé à Kana le 30 juillet 2006, (plus précisément 1,5 km plus loin à Khouraybah): des agents de la Croix Rouge ont participé activement à une mise en scène macabre où des cadavres d'enfants étaient exhibés pendant des heures, dans une parade devant les caméras. Au lieu d'attaquer la Croix Rouge pour sa collaboration avec le Hezbollah, la presse a attaqué les bloggers, comme étant des soutiens d'Israël, des extrémistes de droite… Il ne fallait surtout pas semer le doute dans l'esprit d'un public

matraqué par "la pensée juste" et il ne fallait pas donner crédit à ces intrus de la vérité et de la décence.

On constate avec amertume, que plus le temps passe, plus les organisations de la terreur affinent leur désinformation dans un but subversif, sans que les gouvernements du monde libre et leurs médias ne s'en inquiètent outre mesure. Et on constate aussi que la protection contre la désintégration de nos sociétés passe aujourd'hui par l'action d'individus isolés, épris de liberté. Grâce à la vigilance de quelques bloggers, on a découvert la corruption des médias et du réseau global des ONG. Et grâce à eux l'objectivité a pu être rétablie.

Il appartient aux citoyens du monde libre qui attachent de l'importance à la notion liberté de reconnaître cette corruption et d'applaudir ces bloggers, et peut-être de les rejoindre, en refusant que des institutions véreuses n'assombrissent notre vie.

 

 

Terrorist theater tricks

What are we seeing when we watch events from the Middle East on our television screens? Is it news or is it terrorist theater?

Let us observe two media events which occurred on Sunday in Gaza. Sunday afternoon released hostages and Fox News journalists Steven Centanni and Olaf Wiig spoke before the cameras. The fact of their release and their statements were reported by more than 1,000 news organizations throughout the world.

At the press conference, Centanni and Wiig, who were forced by their Palestinian captors to convert to Islam, praised the Palestinians. Centanni said, "I just hope this never scares a single journalist away from coming to Gaza to cover this story because the Palestinian people are a very beautiful, kind-hearted and caring people that the world need[s] to know more about." Wiig similarly praised the Palestinians.

While their remarks were covered extensively, no one seemed to think that the fact that their first post-release statements were made at a Palestinian Authority sponsored media extravaganza in Gaza was significant. No one noted that the men were flanked by Palestinian "security forces," and stood next to Hamas terrorist leader and Palestinian Authority Prime Minister Ismail Haniyeh.

No mention was made of the fact that the two were initially kidnapped by just such PA "security officials," or that Haniyeh is one of the leaders of one of the most fanatical jihadist organizations in the world, an organization that the majority of the "beautiful, kind-hearted and caring" Palestinians voted into office last January.

That is, no mention was made of the fact that until the two men left Gaza, they remained unfree. No one asked whether they had been given the option of not giving a press conference in Gaza. And now that they have spoken, there can be little doubt that a second press conference by the two men, in or the where no one will force them to convert to Judaism or Christianity or threaten to kill them, will draw far less media interest. After their press conference, the two men became yesterday's news.

Conveniently, the same day the PA released the men who its own forces had kidnapped, Reuters reported that the IDF had shot a missile at its press vehicle and wounded two cameramen - one from Reuters and one from Iranian World TV network - while they were en route to a battle taking place between IDF forces and Palestinian terrorists. Reuters, which is demanding an independent investigation into the attack, is portraying its cameraman Fadel Shana as an embattled hero who would do anything to bring the truth to the world.

Yet it is unclear why anyone should believe either Shana or Reuters. Shana told Reuters that as he was driving to the battle scene, "I suddenly saw fire and the doors of the jeep flew open." He claims to have been wounded by shrapnel in his hand and leg. These are minor injuries for someone whose vehicle was just hit by a missile.

But then, the photographs taken of his vehicle after the purported missile attack give no indication that the car was hit by anything. There is a gash on the roof. The hood is bent out of shape. But nothing seems to have been burned. Cars hit by missiles do not look like they have just been in a nasty accident. Cars hit by missiles are destroyed.

Yet the glass on the windshield and the windows of Shana's vehicle isn't even shattered. In the photographs taken of Shana on the way to the hospital in Gaza, he lies on a stretcher, eyes closed, arm extended in full pieta mode. He is not visibly bleeding although there are some blood stains on his shirt, but then his undershirt is completely white.

did not see these pictures in the media coverage of the purported IDF attack on the Reuters and Iranian cameramen. I saw them on Powerlineblog Web site. I did not see any questions raised from either the Israeli or the international media on the veracity of Shana's tale, which of course, provides a nice balance to the Centanni-Wiig hostage story.

AS IS the case with the Palestinian war against , one of the most notable aspects of Hizbullah's latest campaign against has been the active collaboration of news organizations and international NGO's in Hizbullah's information war against . Like their rogue state sponsors, subversive sub-national groups like Hizbullah, Fatah and Hamas, see information operations as an integral part of their war for the annihilation of and defeat of the West. And their information operations are more advanced than any the world has seen. As becomes more evident with each passing day, they have successfully corrupted both the world media and the community of NGOs that purportedly operate in a neutral manner in war zones.

It is not a coincidence that I saw the pictures of the Reuters' vehicle on Powerline and not in the media coverage of the purported attack. Both the global media and the international NGO community abjectly refuse to investigate themselves. As democratic governments and their militaries have proven incapable of dealing with the phenomenon (in part because they seek to curry favor with the media and the international NGO community), the blogosphere has taken upon itself the role of media watchdog.

BLOGGERS HAVE become a critical component of the free world's defense in the current war. During the Hizbullah campaign in , bloggers scrutinized coverage of the war in a way that has never been done before. Their work has exposed the dirty secret of the Middle East that the media has hidden for so many years: The global media and the international NGO community, which profess to be neutral observers, are in fact colluding with terrorist organizations.

The blogosphere, and particularly Little Green Footballs, Powerline, Zombietime, Michelle Malkin, and EU Referendum, have relentlessly exposed the systematic staging of news events, fabrication of attacks against relief workers, and doctoring of photographic images by Hizbullah with the active assistance of international organizations and the global media.

The International Committee of the Red Cross, with its internationally mandated status as a protected organization, is particularly culpable. The blogoshere - and specifically EU Referendum and Zombietime Web sites - have shown that Red Cross employees in Tyre and Kana fabricated from whole cloth a tale of an Israeli airstrike against Red Cross ambulances in Kana on July 23. In an exhaustively documented report, "How the Media Legitimized an Anti-Israel Hoax and Changed the Course of a War," Zombietime showed how Red Cross employees took an old, rusty ambulance and alleged that the IAF had attacked it with a missile that blew a hole straight through the middle of the red cross on the ambulance's roof.

The Red Cross allegation was reported as fact by such "credible" news organizations as Associated Press, Time magazine, the BBC, ITV, The New York Times, The Guardian, The Age, MSNBC, The Los Angeles Times and the Boston Globe. Amnesty International and Human Rights Watch both published accounts of the attack as evidence of Israeli "war crimes" in .

Zombietime clearly proved from simple scrutiny of the photographs taken of the ambulance, that the hole in the cross was not the result of a missile attack but the work of the ambulance manufacturer. It was the hole for an air vent. The pock marks on the roof were the result of age and decay. There had been no fire in the ambulance. There was no attack. It was a complete fabrication, concocted by Red Cross employees who enjoy their protected status because their organization has pledged its neutral status in this and all wars.

ONE WEEK later, as EU Referendum reports in a similarly detailed investigation of the much condemned IAF bombing of Kana on July 30, (which actually happened a mile north of Kana at Khuraybah village), Red Cross relief workers actively participated in the staging of a perverted media extravaganza where the bodies of dead children were paraded about before the waiting camera crews for hours and hours.

Rather than demand that the ICRC account for the clear breach of its binding commitment to neutrality, and rather than attack the Lebanese Red Cross for its active collaboration with Hizbullah, the international media has attacked the bloggers. They are brushed off as " supporters," and "right-wing extremists." The aim of these brush-offs is to convince "right thinking" citizens that they oughtn't have anything to do with these champions of truth and human decency.

As each day passes, the governments, formal and informal legal apparatuses, and media of free societies show themselves to be less and less capable of contending with the information operations conducted against their societies by subversive forces seeking their destruction.

As each day passes it becomes clear that the responsibility of protecting our nations and societies from internal disintegration has passed to the hands of individuals, often working alone, who refuse to accept the degradation of their societies and so fight with the innovative tools of liberty to protect our way of life. The vigilance of just a handful of bloggers brought us the knowledge of the corruption of our media and the network of global NGOs that we have come to rely on to tell us the "objective" truth.

It is up to all citizens of the free world, who value our freedom to recognize this corruption, applaud the bloggers and join them in refusing to allow these corrupt institutions to cloud our commitment to freedom.

Publié dans ACTUALITE

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